Image de couverture : © Olivier Debré
15 x 20 cm
180 pages
Nouvelle édition
Isbn 9782848091495
17 €
180 pages
Nouvelle édition
Isbn 9782848091495
17 €
Mille kilomètres à pied le long de la Loire
« On m’avait souhaité des jours heureux, des chemins pas trop goudronnés, des aubes un peu fraîches, des bons vins, de la mousse et de l’herbe pour m’allonger au soleil, toutes les couleurs de la Loire et aucun chien méchant. Vœux exaucés.
Si je n’avais marché que pour comprendre pourquoi je marchais ? Allons, on ne prétend ce genre de choses que dans les livres ou les journaux.
Non, j’avais mes raisons, incertaines mais surabondantes. J’ai marché en badaud, curieux de la leçon de choses, et d’histoire, et de géographie, et de littérature que me donnerait le fleuve. J’ai marché parce que j’ai lu, adolescent, cette phrase de Giono : “Les hommes, au fond, ça n’a pas été fait pour s’engraisser à l’auge, mais ça a été fait pour maigrir dans les chemins, traverser des arbres et des arbres, sans jamais revoir les mêmes arbres ; s’en aller dans sa curiosité, connaître.”»
T. G.
« J'ai l'impression de déjà bien connaître Thierry Guidet, cet homme dont j'ai lu et relu le livre relatant sa descente à pied du Gerbier-de-Jonc jusqu'à l'océan. Depuis l'été 2007, le pauvre bouquin a été annoté, plié dans mon sac, il a traîné dans toutes mes poches. »
Bernard Ollivier, Aventures en Loire, Phébus.
« On m’avait souhaité des jours heureux, des chemins pas trop goudronnés, des aubes un peu fraîches, des bons vins, de la mousse et de l’herbe pour m’allonger au soleil, toutes les couleurs de la Loire et aucun chien méchant. Vœux exaucés.
Si je n’avais marché que pour comprendre pourquoi je marchais ? Allons, on ne prétend ce genre de choses que dans les livres ou les journaux.
Non, j’avais mes raisons, incertaines mais surabondantes. J’ai marché en badaud, curieux de la leçon de choses, et d’histoire, et de géographie, et de littérature que me donnerait le fleuve. J’ai marché parce que j’ai lu, adolescent, cette phrase de Giono : “Les hommes, au fond, ça n’a pas été fait pour s’engraisser à l’auge, mais ça a été fait pour maigrir dans les chemins, traverser des arbres et des arbres, sans jamais revoir les mêmes arbres ; s’en aller dans sa curiosité, connaître.”»
T. G.
« J'ai l'impression de déjà bien connaître Thierry Guidet, cet homme dont j'ai lu et relu le livre relatant sa descente à pied du Gerbier-de-Jonc jusqu'à l'océan. Depuis l'été 2007, le pauvre bouquin a été annoté, plié dans mon sac, il a traîné dans toutes mes poches. »
Bernard Ollivier, Aventures en Loire, Phébus.